Histoire
Diplômes : Compagnon harpiste
Etudes : Atelier harpiste, 3 révolutions
Nom, profession, âge et localisation du père : Taldäen, riche marchand de bijoux vivant au Fort principal de Kyr’nael. Agé de 61ans Taldäen est un homme bien en chair grâce à sa bonne situation, avare et cupide. Il reste malgré tout un homme de confiance, du temps que l’on n’est pas un de ses clients ! Il se voue corps et âme à son métier et passe son temps enfermé dans son cabinet privé, ou il observe avec beaucoup d’attention chacun des joyaux en sa possession. Originaire du Fort Bais, il a du quitter la région pour cause d’une affaire de marchandises ayant mal tournée. Depuis il essai d’avoir le moins possible d’ennuis avec les autorités.
Nom, profession, âge et localisation de la mère : Jahirma, sans profession vivant dans une riche demeure dans le Fort avec son mari. Agée de 42 révolutions, la mère des jumeaux n’a jamais travaillé de sa vie, vivant dans le luxe depuis sa tendre enfance. Elle se mariera à l’âge de 22 révolutions au riche marchand qui vivait dans la maison d’en face, Taldaën. Elle va passer toute sa vie à s’occuper de ses deux jumeaux, ainsi que de leurs deux autres sœurs cadettes. Jahirma est une femme douce et prévenante, bien que d’une intelligence limitée, n’ayant aucune idée des problèmes de son pays. Elle ne se souci que de con bien être et celui de sa famille.
Frères et sœurs : D’jail, le frère jumeau de Ar’tlam, âgé tout comme lui de 24 révolutions. Lui ressemblant en tout point, il possède pourtant un caractère contraire à Ar’tlam. Il reste très proche de lui, et même si D’jail passe son temps à prouver sa supériorité auprès de son fère, il l’aime beaucoup. Il ne l’avouera cependent jamais, et il lui arrive de veiller sur Ar’tlam, à sa façon !
Jira, jeune apprentie tisserande âgée de 15 révolutions. Brunette débrouillarde et malicieuse, elle trouve que la demeure bourgeoise ou sa famille est confinée n’est que prétexte à les rendre tous idiots et ignorants du monde extérieur. Cela fait un peu plus de deux périodes qu’elle a arrêté de voir ses parents, à la grande tristesse de sa mère. Des trois sœurs des jumeaux, c’est la moins proche de Ar’tlam. Il la trouve beaucoup trop bruyante et extrovertie.
Rajhade, la deuxième, est au contraire d’un grand calme, et parle peu. Elle a 13 révolutions, et vit chez ses parents, aidant sa mère aux taches ménagères la journée. Elle n’a jamais vraiment connu ses grands frères, et reste très couvée par sa mère qui l’empêche de sortir de la maison. Raijade est en effet malade depuis sa naissance, d’une maladie incurable. Elle ne peut pas faire d’activités trop fatigantes, et attrape toutes sortes de maladies normalement bénignes. C’est d’ailleurs la petite protégée de Ar’tlam, qui vient s’occuper d’elle lorsque son emploi du temps le lui permet.
Talim, la benjamine de la famille, âgée de seulement 6 révolutions. C’est une gamine pleurnicharde et pourrie gâtée, qui passe son temps à demander de nouveaux jouets auprès de ses parents. C’est aussi la favorite des du couple, qui n’hésitent pas à le montrer à leur autres enfants. Talim en a bien conscience, et s’amuse entre autre à le rappeler à ses deux grandes sœurs (lorsqu’elle peut les voir) à quel point père et mère l’admire.
Autres parents (enfants, oncles, tantes etc.) : de nombreux oncles et tantes, habitants tous dans les Forts de l’Est de Pern. Beaucoup d’entre eux sont d’ailleurs inconnus et n’ont jamais vu Ar’tlam et D’jiad. Ces derniers ne se soucient que très peu de l’existante du reste de leur famille.
Histoire: Ar’tlam naquit quelques minutes plus tard que son frère D’jail. Premiers enfants d’un couple de riches bourgeois, la venue de fils susceptibles de reprendre les affaires enchantait le père de famille. Marchand de bijoux dans le Fort de Baie, l’homme comptait inculquer à ses jeunes fils l’art de l’orfèvrerie. Les deux jumeaux passèrent une enfance joyeuse sans le moindre incident, dans le luxe et l’aisance. Ils obtenaient ce qu’ils désiraient, et ne se quittaient pas d’une semelle. Ils partageaient la même chambre, les même jeux, et s’entendaient à merveille.
Cependant il s’avéra très tôt que leur caractère était en parfaite opposition, une différence flagrante. Ar’tlam était aussi doux et timide que son frère était mesquin et calculateur. A l’origine de nombreuses blagues, D’jiad utilisait sa ressemblance avec son frère pour le faire gronder à sa place. D’une gentillesse maladive, Ar’tlam se laissait mener à la baguette par son frère, et ne comprenait qu’à peine ce qu’il lui arrivait.
Peu après la naissance de leur petite sœur Jira, ils durent quitter la contrée pour le Fort de Kyrnaël. Les affaires de leur marchand de père tournaient mal, et valait mieux ne pas trainer dans le coin ! Malheureusement, le Fort était en pleine crise, une épidémie frappant la majorité de la région. La mère des jumeaux qui venait d’accoucher d’une petite fille malade et chétive, eut grande peur de la perdre. Pour lui éviter de mourir, elle la confina dans la maisonnée, lui interdisant de sortir dehors. Il arrivait souvent à Ar’tlam de rester avec la jeune fille appréciant la douceur de sa cadette.
A l’âge de 13 ans, les deux frères furent envoyés à l’atelier dépendant du Fort, bien que leur père s’y opposait. Ar’tlam fut envoyé à l’atelier d’harpiste, tandis que don frère fut envoyé à l’atelier des forgerons. Le jeune garçon développa une vraie passion pour l’instrument à corde, et doté d’une très belle voix, et d’un don évident pour conter les ballades de Pern, il fut nommé compagnon au terme de sa formation. On le destinait même à devenir un grand maître harpiste, ce que le garçon aurait accepté sans hésiter. A chaque fois qu’il retrouvait son frère D’jail, c’était une grande joie de pouvoir lui parler. Cependant, l’apprenti forgeron se renfermait de plus en plus, et devenait de moins en moins fréquentable, ce qui n’empêchait pas Ar’tlam de ne pas le quitter.
Et le temps de la quête arriva. Une dorée du Weyr était prête à donner naissance à de nombreux dragonnets. Les chevaliers dragon étaient à la recherche de candidats, qu’ils recherchaient jusque dans les ateliers. C’est à ce moment que choisit D’jail pour effectuer ses farces de mauvais gouts.
Comme à son habitude, il avait emmené avec lui son jumeau, qui était chargé de monter la garde. Ils ne purent donc être sélectionnés par les chevaliers dragons. Ces derniers commençaient à quitter les ateliers sans avoir pu trouver les candidats qui leur manquaient. Leur dragons détectèrent à cet instant les deux garçons, tandis qu’ils s’envolaient. Ils s’accordaient à dire que les jumeaux possédaient le potentiel nécessaire pour se porter candidats, et en particulier D’jail.
Et c’est ainsi que les deux jumeaux devinrent candidats ! Encore une occasion pour D’jail d’empêtrer son Ar’tlam dans des histoires peu recommandables ! Il s’arrangeait entre autre de s’échapper du Weyr pour aller visiter les sables. Pour ce qui était des taches que les candidats devaient effectuer, D’jail à chaque fois qu’il le pouvait les léguait à son pauvre frère qui acceptait de les faire sans rechigner.
Lors de l’éclosion, Ar’tlam, vêtu de sa tenue cousue à l’occasion attendait le cœur battant. Il avait peur de ne pas pouvoir devenir un chevalier, et que D’jail lui soit marqué par l’empreinte ! Lorsque les dragons sortirent de leurs coquilles, les deux seuls bronzes de la couvée se dirigèrent de leur démarche gauche vers les deux jumeaux. Une voix étrange s’infiltra dans l’esprit de Ar’tlam.
[Hé bien mollasson, tu vas passé ton temps à rester là les bras ballants ? C’est que j’ai faim moi ! Je suis Erjaïth, nourris moi!]Ar’tlam avait cherché à croiser le regard de son frère. Lui-même regardait son dragon avec des yeux ronds, expression qui paraissait étrange sur le visage du nouvel aspirant.
La durée de l’aspirana se passa à une vitesse folle, Ar’tlam était heureux d’apprendre autant de choses sur les dragons, et s’occuper de Erjaïth lui procurait grande joie, surtout qu’il pouvait passer encore plus de temps avec son frère ! Bien que les deux dragons aient du mal à se supporter, les entrainements qu’ils effectuaient ensemble étaient bénéfiques pour tous.
Les jumeaux devinrent bien vite chevaliers bronze, surement la plus grande fierté de At’tlam. Entre temps, il lui arrive souvent de chanter les ballades au Weyr. Entre son dragon, sa harpe et son frère, Ar’tlam passe des journées bien chargées, et ne s’ennui jamais. Il n’a cependant pas trop l’occasion de faire de nouvelles rencontres étant très réservé, et excepté son frère, il ne connaît que très peu les autres chevaliers dragon.
Animal
Race : Dragon bronze
Prénom : Erjaïth
Couleur : D’un bronze très foncé, presque noir, aux beaux reflets cuivrés, Erjaïth passe pour un très bel animal. D’une très grande taille, comme tous les bronzes ses grandes ailes une fois en vol atteignent une taille incomparable. Le ventre de l’animal est bien plus clair que son dos, prenant une belle couleur unie.
Age : 9 révolutions
Caractère : Très agité et impulsif, Erjaïth est un dragon qui n’aime pas trop se plier aux règles établies. Son côté rebelle donne d’ailleurs beaucoup de fil à retordre à Ar’tlam. Ce dernier n’arrive pas toujours à se faire respecter, et à instaurer son autorité. Son dragon en profite donc pour faire ce qu’il lui plait, pouvant parfois attirer des ennuis à son chevalier.
Il est encore plus difficile au garçon de le maitriser lorsque Erjaïth se trouve à proximité de Marayath, le dragon de D’jail. En effet, les deux dragons se détestent mutuellement, et chaque nouvelle rencontre est prétexte à se chamailler ou se battre. De toute manière, il serait impossible de faire autrement, même les deux dragons avouent aimer être en conflit.
Erjäth prend cependant très au sérieux sa tache de dragon, et est toujours prêt à défendre le Fort contre une éventuelle attaque de fils. Il les a d’ailleurs en horreur, et rien que la mention de leur nom lui extirpe un grondement de colère.
Assez protecteur envers son chevalier, il n’hésite cependant pas à le traiter de mollasson à longueur de journée, estimant que Ar’tlam se laisse bien trop marcher sur les pieds.
Moyen d'acquisition (pour les dragons indiquer également ici le lieu d'impression et les noms des père et mère) : Impression il y a 9 révolutions lors de l’éclosion de la dorée Nareäth et du bronze Galahant.
Autres
Personnages adoptables dans cette fiche : Taldäen, Jahirma, Jira, Rajhade, Talim.
[D'jail arrive !! :p]